Wednesday, September 4, 2013

Ebook Sélection officielle: Journal

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Ebook Sélection officielle: Journal

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Sélection officielle: Journal

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Sélection officielle: Journal

Détails sur le produit

Broché: 624 pages

Editeur : Grasset (11 janvier 2017)

Collection : Littérature Française

Langue : Français

ISBN-10: 2246863716

ISBN-13: 978-2246863717

Dimensions du produit:

15,3 x 4 x 22,5 cm

Moyenne des commentaires client :

4.2 étoiles sur 5

6 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

172.230 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Quoi de plus intéressant que de s'immiscer durant un an dans les coulisses du plus grand festival d cinéma du monde ? M. Frémaux partage sans relâche sa passion et son immense culture pour le cinéma mondial et c'est à 100 à l'heure que nous vivons cette aventure. Entre la réception des films, les visionnages, les débats, le choix des jurés, les désistements, les rendez-vous, tout y est et on ne peut s'empêcher de tourner et tourner les pages en espérant que cela ne s'arête.On sait pertinemment que chaque année est organisée de la même manière entre la fin d'un festival et le début d'un autre et malgré cela on souhaite que le livre ne s'arrête jamais.A lire et à relire tellement c'est beau, c'est bon et qu'il regorge n'anecdote tant sur le cinéma que sur la personne de M. Frémaux.

Intéressant d'entrer dans les coulisses du festival de Cannes, même si on n'est pas un cinéphile compétent.Cela donne une idée de la complexité du travail .L'auteur se donne à fond.Et il "navigue bien " parmi tous ces personnages qui deviennent des amis, le temps d'un festival.Pour lui, une vie trépidante, riche en rencontres qui fortifient sa passion du cinéma; pas beaucoup de place pour une vie de famille ordinaire mais on le sent proche des siens.Ses passions de jeunesse restent intactes et c'est bien sympathique:le vélo, les copains d'enfance, la campagne...Un homme sous toutes ses facettes.

On apprend beaucoup sur l'histoire et la façon dont les sélections sont faites. se lit sans problèmej'ai passé un bon moment

Interessant.

Thierry Frémaux est loin d'être apprécié par tous. Un délégué général du Festival de Cannes n'a pas vocation à l'être. C'était aussi le cas de Gilles Jacob, dans un registre différent. Plus janséniste, disons. A vrai dire, on lui reproche tout et son contraire à Frémaux : d'avoir laisser glisser Cannes vers un cirque médiatique et people. Et de cultiver une certain forme d'élitisme en ne sélectionnant que des habitués du Festival : les Dardenne, Loach, Haneke, Moretti et tutti quanti. Voire. Sélection officielle, son journal qui retrace un an de vie, de Cannes 2015 à Cannes 2016, ne modifiera sans doute pas l'opinion de ses contempteurs à son égard. Bien au contraire. Mais cela n'a aucune importance. S'il s'agit bien d'une autobiographie en creux : l'enfance aux Minguettes, ses passions pour Springsteen et Dylan, son amour de Lyon et de la nature cévenole et celui du sport en général, du foot et du cyclisme en particulier, cet autoportrait montre un hyperactif au travail, plutôt insomniaque, qui a un immense besoin d'être aimé autant que d'aimer, mais comment peut-on lui reprocher ? Evidemment, il y a du "namedropping" à foison dans Sélection officielle : un coup de fil de Cimino, plusieurs jours passés avec Scorsese, une discussion avec Clooney à propos de tracteurs (sic) sur le tapis rouge, un rendez-vous avec Deneuve, etc. Ce ne sont jamais des révélations phénoménales ni des secrets intimes que révèle Frémaux, pas le genre de la maison, mais les histoires d'un type qui, au fond de lui, a gardé une certaine candeur, et n'en revient pas de côtoyer des personnages aussi brillants et célèbres. Au-delà de l'anecdote et parfois de la blague potache, genres qu'il pratique avec délice, façon de ne pas se prendre au sérieux ?, cela nous vaut d'assister à de très belles scènes, celle de l'émouvante rencontre entre Scorsese et de Kiarostami au Festival Lumière, par exemple. Par ailleurs, Frémaux cultive l'amitié comme un art de vivre, en bon gastronome et oenophile : Laurent Gerra, Pierre Lescure, Bertrand Tavernier et quelques cinéastes et acteurs, aussi. Pour en revenir à Cannes, qui est tout de même la grande affaire du livre, il incarne un délégué général moderne, avec des partis pris et une ouverture à tous les cinémas que n'avait pas ses prédécesseurs. C'est également ce qu'on lui reproche mais c'est son credo. "Je préfère un bon film commercial à un mauvais film d'auteur " a t-il notamment déclaré. Dans l'orthodoxie cannoise, ce genre de propos est commenté et parfois condamné. Passons. Sélection officielle donne avant tout un formidable coup de projecteur sur le plus grand festival du monde. Les coulisses, avec tout cela comporte d'espoirs déçus (films pas prêts à temps), de découvertes (Toni Erdmann) et de refus qui fâchent les destinataires (Kusturica). Cannes est une marmite qui cuit à feu doux de juin à décembre et est porté à ébullition ensuite de janvier à avril avec l'obligation de regarder quelque 1 800 films avant d'en retenir moins de 50 entre la Compétition officielle, Un certain regard, les séances spéciales et le hors compétition. Un boulot titanesque accompli sous la pression des producteurs et des cinéastes. Avec la crainte de se tromper (le film de Sean Penn), ce qui arrive forcément. Ce long travelling dans les cuisines du Festival, et même si Frémaux ne dit pas tout, est l'attrait principal de ce livre de 620 pages. Change t-il le regard du cinéphile de base qui l'a dévoré en 3 soirées ? Oui, quand même, sur son délégué général autant que sur la manifestation elle-même, qui continueront à être autant décriés et critiqués l'un et l'autre, dans le futur, c'est inévitable et sans nul doute comme une façon très française de célébrer et aimer notre tout premier événement culturel et médiatique (que ces deux mots ont du mal à cohabiter !) aux yeux du monde. En un mot comme en cent, Sélection officielle est passionnant de bout en bout.

Ce livre publié en janvier 2017 et écrit par Thierry Frémaux sous forme de journal, revient essentiellement sur la préparation de l’évènement le plus important du cinéma mondial : Le Festival de Cannes, manifestation et vitrine mondiale. Ici il est volontairement circonscrit à la période mai 2015 - mai 2016.Né en 1960, l’auteur est délégué général du Festival de Cannes depuis 2007 et directeur de l’Institut Lumière de Lyon : maintenant c’est un peu « l’homme fort du Festival » après la retraite de Gilles Jacob, bien que Pierre Lescure soit devenu Président du Festival après celui-ci. Vu son parcours dans le monde du cinéma il était désigné pour succéder à Gilles Jacob dans « l’image et l’incarnation » du Festival, grande figure récente sous forme de gentleman élégant et enchanteur.L’action commence au lendemain de la clôture de l’édition 2015, et se tourne déjà vers la suivante…La Compétition de Cannes : le graal que tout le monde espère et le passeport pour la célébrité… C’est donc la préparation de cet évènement, ciblé sur et autour de lui et tous ses contacts qu’il nous livre, comme une sorte d’obsession, où son président est tourné vers la constitution de différentes listes de films du Festival : La Sélection officielle, qui comprend la Compétition officielle, le « Hors-compétition » avec séances spéciales, séances de minuits… puis la collection « Un certain regard ». Viennent deux autres évènements : « La Quinzaine des Réalisateurs » et la Semaine de la critique.Ce journal dresse un témoignage réinterrogé et repensé à chaque année lors de chaque édition, où il doit construire et élaborer sa fameuse liste principale – la plus prestigieuse – et les autres, moins médiatisées mais donnant leur chance à ceux qui ne purent ou ne voulurent en être, et les jeunes pousses prometteuses.Comme le titre l’indique c’est bien l’établissement de la « Liste officielle » qui incombe à Thierry Frémaux : son rôle se cantonne à celui-là sans s’y réduire. Car il est responsable du bon déroulement et fonctionnement de la plus grosse machine du cinéma mondial qui se déroule en pleine lumière durant moins de 15 jours.Au sein du protocole officiel, le « Délégué général » s'occupe de la coordination. Il vérifie que les tâches se déroulent normalement et les encadre. Il veille sur l'organisation, le déroulement du programme quotidien et l'intendance, règle les problèmes de fonctionnement et est aussi le représentant des techniciens auprès du Président.Mais l’on apprend ici que ce Délégué est aidé de trois comités de sélection (dont un dédié aux films français et un autre à l’étranger) qui sélectionnent toute l’année et au fur et à mesure des arrivages tous les longs métrages possibles sur différents supports possibles, et rédigent des notes ; pour ne marquer un jalon et ne pas oublier les impressions bien après sa visualisation. L’on apprend qu’ils ont droit à toutes les qualités artistiques possibles, de la meilleure comme de la pire.« Une bonne sélection c’est grâce aux films ; une mauvaise à cause du sélectionneur » écrit-il.Nous assistons à la construction progressive d’une sélection, à travers rencontres fortuites ou voulues, ses rendez-vous, l’entretien constant de l’amitié formée avec des cinéastes… et à travers une vie personnelle assez éparse, bien qu’il ait bien une compagne et deux enfants.Le livre s’égrène sur une existence réduite et ciblée sur les films, les artisans du cinéma, les relations sélectives sur cet art qui l’accapare. Pour les salariés et a fortiori son Président, « Cannes est une machine qui ne s’arrête jamais »…Jusqu’à novembre, persiste un peu le délestage avant l’euphorie qui ira monter crescendo jusqu’à un timing de plus en plus serré : car tout le monde attend la période qui est quasiment connue d’avance. La date butoir arrivera donc assez vite.Il lui incombe d’abord d’accrocher et convaincre le président du jury qui va comme dévoiler un pan du voile et insuffler l’énergie de continuer : un premier élément concret. Ensuite vient la révélation de l’affiche de l’édition.Ensuite le temps manque et s’accélère ; mais pas l’envie de découvrir.À travers ses rencontres l’on pourrait peut-être lui reprocher de puiser beaucoup dans les noms connus pour établir son jury de la Sélection officielle, et du coup s’enfoncer trop du côté des stars-people. Mais pour lui « Il faut que ça se passe bien ».Son chef d’œuvre est l’élaboration de sa sélection officielle.Il révèle et s’étonne à un moment de sa chance de déjeuner avec une star, comme Martin Scorcèse par exemple, l’un des géants d’Hollywood derrière la caméra. On l’envie un peu peut-être, pour cette vie que l’on imagine trépidante, pailletée, toute dressée vers ce 7ème art…L’on pénètre dans les coulisses des préparations avec ses traditions, reflexes… pour aboutir finalement à des promesses déçues, des nouveautés surprenantes et compensatrices : « On guette, on observe et on attend la suite ».Il présente un avis succinct de chaque film visionné. Il parle bien des films avec un langage simple, non sec, plutôt chaleureux et dans un style élégant et soigné, sans fioritures. Et l’on remarque que pour lui, tous les films sont bons…Comme souvent, c’est une personne qui décide : avec ses choix impartiaux, injustes, même s’il les présente aux deux commissions. Pour cette édition 2016 beaucoup de noms de réalisateurs des films sélectionnés sont déjà connus au final : en fait une grande la majorité, avec un saupoudrage de nouveaux venus ou sur le point de l’être. Est-ce étonnant, prend-il assez de risques ou la qualité émane-t-elle forcément des plus connus ? Pas sûr…Le plus important contingent concernait les films américains et français, avec toujours la culpabilité ou la réserve de proposer trop de films nationaux.Concernant la précédente édition 2015, il confesse et avoue l’erreur d’avoir placé « Trois souvenirs de ma jeunesse » de Arnaud Desplechin, « Mad Max : Fury road » de Georges Miller et « Vice versa » de Pixar hors compétition, au sein de la collection « Un certain regard ». Pour le cas du réalisateur français, il ne voulait pas une nouvelle fois lui ouvrir les marches du Palais : mais il confessa que c’était un mauvais choix.La décision de la sélection française ne se prend qu’après visionnage de tous les films en compétition, histoire de ne pas donner la priorité aux premiers filmés et montés à temps. Les comités sont là pour représenter une diversité de goûts et ne pas donner la prépondérance à une seule personne. Pour lui c’est « la grande démocratie » de la Sélection qui opère les choix ouverts.Les critiques des trois comités sont bénévoles et anonymes : « il faut vraiment aimer le cinéma pour faire ça. »La sélection s’effectue « à l’intuition, la passion, aux sentiments ». De la « sélection » comme un art… Au début le « J’aime/je n’aime pas » laisse la place au fur et à mesure au « Il faut/il ne faut pas ». La sélection laisse parfois place à la surprise. Mais fait-elle preuve d’assez d’audace, notamment cette année-là ?Pour les choix de films à proposer au jury il faut éviter d’être submergé par l’émotion d’un soir ; d’où la nécessité de parfois laisser décanter son avis. « On ne sélectionne pas les films, ce sont les film qui nous sélectionnent. »Les jurés choisis de la Compétition officielle revêtiront le prestige d’une prestation durant cette période, durant les projections qui rythmeront leurs journées.La machine magique du cinéma pourra alors laisser place au glamour et la montée des marches à envisager et imaginer. Et toute l’exaltation de l’édition voire l’ivresse du moment…C’est comme le poker de savoir comment un film sera accueilli… « Nous sélectionnons un film, pas un cinéaste ». Il lui faut aussi ménager les « perdants » de la sélection.Cannes c’est l’invitation et l’hommage au cinéma, avec un certain mélange des genres, de beauté, de formes différentes. Sur les 1869 films vus pour cette édition, seulement un peu plus d’une vingtaine sont sélectionnés au final car « la concentration et le désir des jurés ne sont pas inépuisables. » Sinon, il en aurait forcément proposé davantage.Il faut assumer sa subjectivité et les avis se cristallisent finalement sur celui que l’on n’attendait pas forcément… Tout est bien qui finit bien pour Cannes.Un beau témoignage des coulisses, de la réalité d’un acteur majeur du Festival à travers cette édition particulière.

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Posted By Fitria MaheswaraSeptember 04, 2013